Un ancien de l’AS Saint-Etienne candidate pour prendre la place de Laurent Batlles Aucun avis homms2013

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Ancien de l’AS Saint-Etienne, Julien Sablé est sorti du silence dans les colonnes du Progrès. Passé, présent et avenir, il déballe tout sur l’AS Saint-Etienne.

Formé à l’AS Saint-Etienne, Julien Sablé s’est illustré sous les couleurs de l’écurie stéphanoise dès sa sortie du centre de formation avant de faire son retour au club dans la peau d’un entraîneur. A la tête de différentes équipes de jeunes, il a eu l’occasion d’être le numéro 1 des Verts lors de brefs instants, en 2017 comme en 2021. Des passages sur lesquels il revient dans les colonnes du Progrès. Passé, présent et futur, il craint lui aussi le pire pour l’AS Saint-Etienne qu’il ne voit pas retrouver l’élite avant au moins trois années de galère.

« C’était la fin de l’histoire. J’ai donné 100 % de moi-même durant ces huit années. Peut-être pas toujours dans la bonne compétence ou avec les bons choix. Quand on s’est rencontré avec Loïc, j’ai candidaté car je voulais être numéro un, en sachant que Lolo était le premier choix pour le poste, mais il n’avait pas encore donné sa réponse. Laurent ayant fait son choix rapidement, les choses ont découlé naturellement. J’ai été très clair d’entrée, je ne voulais pas être au placard ou aller à la formation ou au recrutement sous prétexte que j’étais un ancien joueur du club. Soit je continuais avec les pros, soit je quittais l’ASSE. Cela s’est fait proprement, sans animosité ni rancœur. Je peux regarder le président Romeyer droit dans les yeux parce que lui et moi, on sait ce qu’il s’est passé dans le bureau quand il m’a demandé de prendre l’équipe. C’était une erreur mais pas un regret, parce que j’étais trop jeune, je n’étais pas prêt. Mais, vis-à-vis de mes valeurs et mon engagement avec l’AS Saint-Étienne, j’ai été moi-même. J’ai toujours fait les choses avec les tripes. Je n’ai trahi personne, j’ai donné tout ce que j’avais à l’ASSE. Nos chemins se sont séparés, mais évidemment que je souhaite le meilleur pour Saint-Étienne, je suis très mal pour eux aujourd’hui, même si je pense que c’est une étape naturelle. Il va falloir du temps pour que le club se reconstruise. J’ai fait deux montées et à chaque fois, on a mis trois ans. Cela ne veut pas dire que ce sera encore le cas, mais tout ne se fait pas d’un coup de baguette magique, les descentes sont des moments traumatisants. Il y a des cycles. »

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