« L’Église traite le rapport Sauvé comme porteur d’une vérité qui ne peut être discutée » Aucun avis homms2013

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TRIBUNE. Pour Philippe d’Irirbane, le rapport Sauvé devrait être accueilli avec un regard critique et non une forme de « sacralisation ». Selon lui, ses auteurs négligeraient plusieurs points, comme le fait que jusque dans les années 1990 « la société dans son ensemble ignorait l’intensité des dégâts produits chez les victimes de pédocriminalité ».

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