À l’inverse d’Ève, présentée par une certaine tradition comme coupable du péché originel, la figure évangélique de Marie a nourri un « courant d’exaltation ». Celle-ci a été source de promotion féminine mais aussi de « négation concrète » de la réalité vécue par les femmes. Série « les figures féminines dans les religions » (3/15)
Marie et « la femme » au risque de l’idéalisation
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