Cofondateur de l'association "La Parole libérée", François Devaux estime que le film de François Ozon "Grâce à Dieu", présenté vendredi au festival de Berlin, permet de comprendre à quel point les victimes de pédophilie sont "des bombes à retardement".L'association a été fondée à Lyon en 2015 par d'anciens scouts abusés par un prêtre pédophile, Bernard Preynat. Neuf d'entre eux sont à l'origine du procès contre le cardinal Barbarin et cinq anciens responsables du diocèse...
Le film d’Ozon montre que les abusés sont “des bombes à retardement”
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