"Je ne tiens pas à être associé à la sorte de cannibalisme qui règne entre certains de nos collègues (...) Je vous prie d'accepter ma démission". C'est ainsi qu'Aragon claque la porte de l'académie Goncourt en novembre 1968.La lettre manuscrite adressée au secrétaire général de l'académie Goncourt par l'éphémère juré (il y sera resté moins d'un an) Louis Aragon fait partie des milliers de documents des archives de l'académie Goncourt conservés à Nancy.La ville natale...
La longue histoire d’amour entre Nancy et le Goncourt
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