Dans une usine bourdonnante d'activité, sur les hautes terres kényanes, le thé cueilli à la main est séché et broyé pour donner les délicates feuilles qui depuis des générations comblent de bonheur ses adeptes, de Londres à Lahore.Mais le fameux thé noir kényan n'atteint plus les prix d'autrefois. Et le Kenya, premier fournisseur mondial de la boisson la plus bue au monde, se retrouve contraint de diversifier son offre.Sur les bucoliques collines entourant la ville de Nyeri (centre), les ouvrier…
Face à la baisse des prix, les producteurs kényans de thé se diversifient
homms2013 86 mots pour vous donner de l'information 0 habillageLire la suite sur La Croix.com - Les derniers articles : Toutes catégories .
Pour marque-pages : Permaliens.