Alors qu’il venait discuter du retrait américain prévu en Syrie, John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a essuyé mardi 8 janvier la colère d’Ankara pour avoir défendu une milice kurde syrienne. Ces dernières semaines, les relations bilatérales, d’ordinaire tumultueuses, avaient pourtant été marquées par quelques signes d’apaisement.
Entre Ankara et Washington, une relation chaotique mais robuste
homms2013 61 mots pour vous donner de l'information 0 habillageLire la suite sur La Croix.com - Les derniers articles : Toutes catégories .
Pour marque-pages : Permaliens.