Que la fine pluie n'empêche pas les spectateurs de danser devant la scène où chantait samedi soir la Canadienne Dawn Taylor Watson prouve que le festival international de jazz de Port-au-Prince a été une bouffée d'oxygène prisée en Haïti, en proie à une crise socio-politique.Le PaP Jazz, comme le surnomment ses habitués, a gagné sa place dans l'agenda international à l'heure où les capitales mondiales du genre musical grelottent sous des températures négatives. Mais cette 14e édition aura été la…
Défiant la crise, le jazz international a fait vibrer Port-au-Prince
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