Près de cinq mois après le début des manifestations, le régime de Daniel Ortega multiplie les arrestations, notamment chez les étudiants, accusés de « terrorisme ». Si le gouvernement a repris le contrôle du pays, au prix d’une répression qui approche les 500 morts, le pouvoir sandiniste est fragilisé.
Au Nicaragua, Daniel Ortega muselle l’opposition
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