Après les menaces, l'administration américaine a annoncé mercredi qu'elle allait passer à l'acte en se penchant sur des soupçons de partialité pesant sur les géants internet Twitter, Facebook ou encore Google, accusés par Donald Trump de bâillonner les voix conservatrices.Le ministre de la Justice Jeff Sessions veut discuter avec plusieurs procureurs fédéraux avant la fin du mois "de l'inquiétude grandissante que ces sociétés puissent mettre à mal la libre concurrence et...
Accusés de partialité, Twitter, Google et Facebook dans le collimateur de la justice américaine
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