La contestation qui vient de faire six nouveaux morts à Bassora illustre tragiquement le sentiment d'abandon de cette ville de l'extrême sud de l'Irak et l'exaspération des habitants devant l'impunité des corrompus, dont l'avidité les prive des services de base.Les rivalités à Bagdad, qui ont paralysé le Parlement dès l'ouverture de sa session inaugurale, les promesses des autorités et même les appels au dialogue: le cheikh Raëd al-Freiji, du Conseil des tribus de Bassora, les...
A Bassora, frustration et ressentiment contre le pouvoir de Bagdad
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